Skip to main content

LA LIBERTE: «Il y a un idéal et des nuances»

Il y a des rôles que Marina Rebeka compte depuis longtemps à son répertoire. Des maisons d’opéra qu’elle connaît comme sa poche. Des partenaires de scène qu’elle côtoie souvent. A l’Opéra de Lausanne, tout est nouveau. La soprano lettone campe pour la première fois le rôle de Ginevra dans Ariodante de Haendel, à voir jusqu’au 24 avril. Mise en scène par Stefano Poda, la production est dirigée par Diego Fasolis.

Dans quel état d’esprit abordez-vous votre nouveau rôle dans «Ariodante»? 

Marina Rebeka: C’est une magnifique occasion d’approfondir ma connaissance de lamusique baroque. Je reçois souvent des propositions pour chanter dans Don Giovanni et La Traviata, qui m’ont assuré une certaine notoriété. Mais comme je l’ai dit à mon agent, je ne veux pas seulement gagner ma vie. Je veux des rôles, beaucoup de rôles! C’est la diversité qui m’enrichit en tant qu’artiste. Depuis janvier, j’en suis à mon cinquième rôle, dont trois sont nouveaux. Un excellent début d’année!

Read the entire feature on La Liberté online or via PDF.

Photo: Marc Vanappelghem